Brigitte
TERRIEN

1970,
Jj’ai 15 ans.
Mon père me confie ce que nous n’avions jamais eu le droit de toucher !!!…
Son appareil photo de 1948 chargé avec une pellicule diapo Kodachrome. Il venait d’en acquérir un plus « moderne ». Vitesse, sensibilité, ouverture. Quelques minutes de formations ; je me lance dans le reportage de mes vacances sur les routes d’Espagne vers la Galice. Je venais de découvrir cette magie de l’image qui nous relie aux autres.

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Ecume douce

Dans l’écume douce je me laisse aller, l’œil dans le viseur entre ressac et cris joyeux… mes souvenirs d’enfants me chuchotent dans le bruissement de la dernière vague, les images d’un paradis perdu. Je décide de « peindre » cela. Une forme de poème où la couleur devient la rime

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